Inexploré : Entre psychologies, spiritualités et sciences, un nouveau trimestriel en kiosque à partir du 6 janvier.

Certaines expériences humaines nous placent dans une zone frontière de l’esprit humain, un espace où il est aisé de perdre ses repères. Elles suscitent deux formes de réactions opposées : rejet ou fascination. Une prise de distance est pourtant nécessaire. Le magazine Inexploré propose ce décryptage indispensable.

Le magazine Inexploré se penche sur ces expériences que nous n’arrivons pas à expliquer et que nous qualifions d’extraordinaires. En Janvier, et en exclusivité, David Lynch parle du lien entre création et expérience de la conscience. Boris Cyrulnik revient sur les frontières de la « normalité ». A découvrir également le portrait d’un prêtre exorciste aux prises avec les ambiguïtés de l’esprit humain. Gros dossier sur un enjeu pratique : retrouvez son sixième sens. Comment comprendre l’intuition pour mieux la développer ? Conseil psy : que peuvent faire les parents quand leur ado dit voir des fantômes ? Inexploré, ce sont encore des témoignages, des pages pratiques, toutes les références sur un vaste ensemble d’expériences extraordinaires qui rapprochent de manière rigoureuse le monde visible du monde invisible.

En kiosque à partir du 6 janvier 2012, 6,50 euros

Inexploré est publié par l’INREES – www.inrees.com

Actualité

• Une Révolution Rituelle - Accompagner la crémation

  
  Un phénomène de société nouveau bouleverse nos repères traditionnels. En une génération, la crémation a connu une expansion spectaculaire passant d’un taux de 1 % en 1980 à 30 % en 2010.
  Ce phénomène est plus marqué encore en Europe, en Suisse, Grande-Bretagne ou Danemark, où les taux sont de plus 70 %. Lorsque l’on interroge les français sur ce qu’ils veulent pour leurs propres obsèques, la majorité souhaite une crémation et beaucoup désirent que leurs cendres soient dispersées. Pourquoi ce qui a été la pire des indignités depuis des siècles ─ être brûlé et disparaître sans sépulture ─, devient-il une norme sociale ? Quelles sont les motivations affichées et sous-jacentes de ces choix ? Que cela révèle-t-il des évolutions de notre société ? Et comment les cérémonies civiles peuvent-elles conserver les fonctions essentielles des rituels funéraires, qu’ils soient archaïques ou modernes ?